Clé
Key.
Besoin
Identifier un objet de manière non équivoque.
Analyse
Une clé est un identifiant unique pour un groupe de données.
Souvent, elle est constituée d'un sous-ensemble de ce groupe.
Exemples
Les clés sont utilisées pour :
- les SGBDR
- indexer via une clé primaire (primary key)
identifiant un enregistrement/une ligne/un objet de manière unique
- référencer via une clé étrangère
(foreign key) identifiant une relation de manière
unique
- la sécurité
- pour le cryptage de données, dans
un but de confidentialité : clé secrète
de cryptage connue des parties communicantes.
- pour l'authentification. Plus la
taille de la clé sera grande, plus la sécurité offerte
sera grande.
- Clé privée : conservée par
un acteur (jamais diffusée à un autre acteur). La clé
privée permet à un acteur de decrypter un message destiné
à lui seul.
- Clé publique : diffusée par un acteur.
La clé publique permet à un auteur de crypter un message
afin d'être authentifié par ses correspondants.
- les tris
Notes
- les SGBD
- permettent de définir des champs-clé de manière
automatique (auto increment, rowid, etc.)
- en sécurité
- La "robustesse de clé" (key strength)
détermine le niveau de sécurité offert par son utilisation.
Plus la clé est grande (codée sur 40, 56, 64, 80, 112, 128
bits, etc.), et plus un message codé sera difficile à décoder
sans cette clé.
- Les clés peuvent varier d'interprétation selon les algorithmes
utilisés : certains algorithmes acceptent des tailles de clé
variables (RC2, RC4) et
d'autres ne peuvent fonctionner qu'avec des clés de taille fixe
(DES). De même, la taille de la clé
correspondra à différents arguments selon les algorithmes
(la valeur d'un modulo pour RSA, etc.).
- Si une clé garantissant une sécurité à 99
% doit aujourd'hui dépasser 64 bits, une taille raisonnable
peut être estimée à 56 bits.
Voir